Assia Sadki, marocaine, participe au programme Volontariat international de la Francophonie (VIF) mis en place par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) en partenariat avec l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF). Elle effectue sa mission à l'Ecole Supérieure de la Francophonie pour l’Administration et le Management (ESFAM) à Soifa (Bulgarie) en qualité de spécialiste de communication en ligne.
- Quel est votre parcours ?
Avant de rejoindre le programme VIF, j’ai fait un cursus de 5 ans pour obtenir mon diplôme en commerce international de l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion d’Agadir (Maroc). Après mes études qui ont été accompagnées de plusieurs stages au Maroc et en Belgique, j’ai occupé un poste de responsable commerciale et marketing dans une entreprise spécialisée dans l’exportation des produits de beauté.
- Quel est votre rôle au sein de l’ESFAM ?
Je réalise ma mission à l’ESFAM à Sofia en tant que spécialiste de communication en ligne. Je participe à l’élaboration d’une stratégie de communication en ligne et je m’occupe de la communication des activités de l’école sur les réseaux sociaux (création de contenus accrocheurs, réalisation d’un suivi de flux et d’une veille médiatique et l’établissement des rapports statistiques).
- Pourquoi avez-vous postulé au programme de volontariat international de la francophonie ?
L’appel à candidature pour le programme de VIF était pour moi un appel à une nouvelle aventure qui allait me permettre d’intégrer un nouveau pays et un monde de travail totalement différent de ce que j’avais connu. Aujourd’hui, c’est une opportunité qui me permet de mettre en place mes acquis, développer de nouvelles compétences et de me découvrir. C’est un développement global de ma personne.
- Selon vous, quelles sont les qualités indispensables pour postuler à ce programme ?
Il faut du courage pour saisir une opportunité qui vous emmène dans un environnement totalement différent et pour persévérer dans cette aventure. Il faut de la patience pour apprendre et s’adapter à la nouvelle culture du pays ainsi que celle du travail de la structure d’accueil. Et enfin de l’ouverture d’esprit pour savourer le changement et profiter de cette expérience tant au niveau personnel que professionnel.