Université de technologie chimique et de métallurgie

L’Université de Technologie Chimique et de Métallurgie de Sofia (l’UTCMS) est l’un des établissements les plus renommés en Bulgarie pour la formation de spécialistes dans tous les domaines de l’industrie chimique, biotechnologique, métallurgique, des matériaux, de la recherche fondamentale et appliquée, du secteur technico-commercial et de l’enseignement technique supérieur. Une filière francophone en génie chimique et biochimique, la première en Bulgarie, a été créée en 1992 au sein de l’Université de Technologie Chimique et de Métallurgie. Cette filière offre une formation en 5 ans (un cycle préparatoire intégré de deux ans suivi d’un cycle d’ingénieur de trois ans) qui délivre un diplôme d’ingénieur grade de master. Les cours sont dispensés entièrement en langues française. La formation ne se limite pas à sa vocation primaire de former de jeunes spécialistes, elle innove et reste à l’écoute du monde socio-économique francophone.

Historique

L’Université de technologie chimique et de métallurgie de Sofia (ex-Institut supérieur de technologie chimique de Sofia (ISTC)) est créée en 1953, à la suite de la désintégration de la Polytechnique à Sofia. C’est un des plus important établissement d’enseignement supérieur en Bulgarie pour la formation de spécialistes dans tous les domaines de l’industrie chimique et de la métallurgie : secteur industriel, recherche fondamentale et appliquée, secteur technico-commercial, éducation technique.

Le cycle de formation comprend deux ans de tronc commun et une formation spécialisée de trois ans dans quatre spécialités générales : technologies chimiques, technologies informatiques et contrôle des systèmes de production, génie de l’élaboration des matériaux et science des matériaux, métallurgie.

Une filière francophone ‘chimie industrielle’ a été créée au sein de l’Institut en septembre 1992. Pour les deux options génie chimique et chimie industrielle, l’enseignement est dispensé entièrement en français pour le 1er cycle et partiellement pour le 2ème, sous étroite collaboration avec des universités francophones.

L’Institut comptait environ 4 000 étudiants en novembre 1993.